Le système immunitaire englobe tous nos mécanismes de défense qui interviennent dès que quelque chose est reconnue comme « étrangère » et perçue comme un danger par l’organisme. Son rôle principal est donc de nous protéger, notamment contre les germes pathogènes comme les virus, les bactéries, les champignons… En cas d’affaiblissement, le risque est alors d’être plus sensible aux infections et de mettre davantage de temps à récupérer. D’où l’intérêt d’en prendre soin en prévision des maux de l’hiver ou en cas d’infections à répétition. Plusieurs facteurs comme l’âge, le stress, le tabac et certaines maladies sont connus pour avoir un impact sur l’immunité. Mais l’alimentation, le sommeil ou l’activité physique peuvent également influencer le fonctionnement du système immunitaire. En complément d’une bonne hygiène de vie et de certains besoins micronutritionnels à couvrir, il existe aussi différentes solutions à base de plantes et de produits naturels. Autant de pistes à explorer pour mieux se protéger et renforcer son terrain.
Cet article a été mis à jour le 04/04/2024-TOP 5 des solutions naturelles
-Couvrir ses besoins en vitamine D, en fer et en zinc
-Prendre soin de son immunité par l’alimentation
-Se protéger avec des huiles essentielles
-Renforcer son terrain avec la gemmothérapie
-Privilégier les hydrolats pour les personnes fragiles
-Opter pour des plantes en tisanes, en poudres, en extraits…
-Découvrir d’autres alternatives naturelles
1. L’huile essentielle de référence pour toute la famille : le Ravintsara, pour booster l’immunité et se protéger tout au long de l’hiver.
2. Des plantes aux propriétés immunostimulantes reconnues : les Echinacées, en tenant compte de leurs précautions d’emploi.
3. Pour faire une cure dès l’automne : le macérat de bourgeons d’Églantier, spécifique de la sphère ORL et des enfants.
4. Des poudres et des fruits séchés pour faire le plein de vitamine C : Acérola, Camu-Camu, Baies de Goji.
5. En prévention ou dès les premiers signes d’une infection : la Propolis, à réserver aux adultes.
Pour prendre soin de son immunité, il est par ailleurs recommandé de couvrir ses besoins en vitamine D et en fer, d’adapter son alimentation, de limiter l’impact du stress, d’éviter le manque de sommeil, la sédentarité aussi bien que l’excès de sport, l’exposition aux polluants et produits toxiques qui fragilisent le système immunitaire (tabac, alcool, conservateurs, additifs alimentaires…)
Demander un avis médical en cas de maladie auto-immune, de troubles ou de traitements concernant le système immunitaire.
Avant même d’aborder l’alimentation et les produits naturels, il est important de s’intéresser en priorité à la vitamine D et au fer qui jouent un rôle central dans le fonctionnement de système immunitaire et qui s’avèrent être souvent déficitaires dans la population générale. Quant au zinc, le risque de carence semble moins généralisé mais il est également très impliqué dans l’immunité.
La Vitamine D est bien connue pour son rôle dans la constitution des os, mais elle est aussi et surtout très importante pour l’immunité. D’après les résultats d’une étude de 2006-2007, l’insuffisance en vitamine D concernerait près de 80% des adultes en France, jusqu’à 90% en l’hiver ! Heureusement, les cas de déficit sévère demeurent assez rares. On sera particulièrement attentif à couvrir les besoins avec les personnes âgées, les nourrissons, les femmes enceintes, les femmes ménopausées, les personnes à peau mate ou foncée qui synthétisent moins bien la vitamine D avec le soleil. D’autres facteurs comme certains régimes alimentaires qui suppriment des sources de vitamine D (poissons gras, œufs et produits laitiers), des pathologies induisant une malabsorption intestinale, ou une faible exposition au soleil peuvent aussi aggraver les risques de carence.
Étant donné qu’elle est essentiellement synthétisée par l’action du soleil sur la peau et que seul un faible % de nos besoins est couvert par l’alimentation, une complémentation est recommandée, surtout l’hiver. Mais, pour éviter les risques de surdosage, il vaut mieux demander l’avis d’un professionnel de santé. Il est heureusement loin le temps de l’huile de foie de morue de nos grands-mères… Aujourd’hui, il est beaucoup plus facile de faire une cure de Vitamine D sans faire la grimace.
Le Fer intervient lui aussi dans le fonctionnement du système immunitaire et son déficit dans la population générale est également très fréquent, en particulier chez les femmes non ménopausées, les enfants sujets aux infections à répétition, les personnes qui suivent un régime végan… et les besoins ne peuvent donc pas toujours être couverts par l’alimentation seule. Une complémentation se fera sur la base de dosages biologiques et d’un avis médical, notamment pour estimer le niveau de carence et éviter les risques de surdosages. La Spiruline peut par ailleurs être intéressante en cure d’entretien.
Le zinc est, lui aussi, très utile pour le fonctionnement normal du système immunitaire, mais le consommer en excès ou sur de longues périodes peut, au contraire, exposer à une baisse de l’immunité. Il vaut donc mieux couvrir ses besoins par l’alimentation (huîtres et crustacés, germe de blé, foie, viandes et graines de Courge) et n’envisager une complémentation que chez les personnes à risque de carence comme les personnes souffrant de maladies intestinales chroniques, de maladies rénales, de malnutrition, de dépendance à l’alcool, ou les personnes très âgées, sans oublier les personnes végétariennes.
Les connaissances actuelles sur les liens entre le microbiote intestinal et l’immunité obligent à prendre en compte de plus en plus sérieusement le rôle de l’alimentation. Attention donc aux fast-foods, plats et viennoiseries industriels, fritures, produits trop raffinés ou transformés… qui déséquilibrent le microbiote (dysbiose) et peuvent perturber tout l’écosystème intestinal. À l’inverse, prendre soin de son alimentation peut contribuer à améliorer nos défenses naturelles, avec certaines recommandations particulièrement intéressantes à suivre :
Grâce à leurs propriétés synergiques, immunostimulantes et anti-infectieuses, les huiles essentielles sont des alliés de choix pour se protéger des infections et de leurs éventuelles complications. Plusieurs études réalisées in vitro et in vivo, ont effectivement mis en évidence des effets sur les cellules de l’immunité innée et de l’immunité adaptative, ainsi que sur les molécules de la réponse immunitaire.
Les huiles essentielles sont souvent diffusées en prévention pour assainir l’air. Pour bénéficier de leurs propriétés immunomodulantes proprement dites, elles peuvent aussi s’utiliser par voie orale ou cutanée. Quant à l’olfaction, son intérêt serait double. Cette voie permettrait d’agir à la fois sur la gestion du stress mais également directement sur l’immunité.
En première intention, c'est l’huile essentielle de Ravintsara qui fait l'unanimité. Elle contient à la fois de l’eucalyptol et des monoterpénols qui agiraient en synergie pour lui conférer ses propriétés immunostimulantes et antivirales. Elle a notamment été utilisée à l’hôpital pour prévenir les maladies nosocomiales. Souple d’emploi, quelle que soit la voie d’utilisation, elle est devenue l’huile essentielle de référence pour accompagner toute la famille dès l’automne et tout au long de l’hiver.
En prévention, pour l’assainissement de l’air, il est également possible d’utiliser l’huile essentielle de Citron ou les autres essences d’agrumes. Antiseptique atmosphérique, elle agirait aussi par son parfum sur le bien-être émotionnel et la gestion du stress avec des effets mesurables sur la fonction immunitaire.
Les causes d’un affaiblissement de l’immunité étant multiples, la gemmothérapie va permettre de renforcer chaque terrain de manière personnalisée. Plusieurs macérats de bourgeons sont en effet connus pour agir sur le système immunitaire à différents niveaux : limiter les effets du stress, réguler la flore intestinale, cibler la sphère respiratoire…
Que ce soit en prévention ou pour relancer l’immunité après un épisode infectieux, les macérats de bourgeons seront intéressants à utiliser en cure d’au moins 3 semaines. Ils sont assez souples d’emploi, mais compte tenu de la présence d’alcool dans leur composition, les macérats de bourgeons sont déconseillés chez l’enfant de moins de 3 ans et les femmes enceintes.
Voici les trois principaux bourgeons de l’immunité à choisir en fonction de leurs spécificités :
En complément, on pourra avoir recours à d’autres bourgeons efficaces pour soutenir le système immunitaire comme le macérat de bourgeons de Hêtre (pour les personnes fragiles ou très affaiblies) ou le macérat de bourgeons de Peuplier (pour son effet protecteur en période épidémique).
Dans tous les cas, les doses habituelles sont les suivantes :
Beaucoup moins concentrés que les huiles essentielles, les hydrolats sont plus souples d’emploi. Ils contiennent néanmoins des molécules actives perceptibles à leur odeur aromatique. En bain ou par voie orale, ils permettront de prendre soin des jeunes enfants, des femmes enceintes, des personnes plus âgées pour soutenir leur immunité.
Ils conviendront également à toute la famille pour aider en cas de stress. Rapides et faciles à utiliser, les hydrolats plairont enfin à ceux qui sont pressés et n'ont pas le temps de préparer une tisane.
Les hydrolats peuvent être utilisés, seuls ou en mélange, ponctuellement ou en cures d’une vingtaine de jours pour une action plus profonde :
Pour les personnes qui recherchent des alternatives aux huiles essentielles ou à la gemmothérapie, il existe d’autres solutions à base de plantes pour soutenir son système immunitaire.
Plantes de référence pour stimuler l’immunité, Echinaceae angustifolia et Echinaceae purpurea, ont fait l’objet de nombreuses études qui montrent des effets similaires à plusieurs niveaux comme l’activation des macrophages (immunité innée) et l’augmentation des lymphocytes B à l'origine de la production des anticorps (immunité acquise). L’OMS reconnait même leur usage traditionnel « dans le traitement des rhumes et des infections des voies respiratoires supérieures, du fait de leur action immunostimulante ».
Cependant, la qualité des produits disponibles, les parties utilisées, le type d’extrait, les dosages et la durée d’utilisation… sont très hétérogènes. Il est donc préférable de demander conseil à un professionnel de santé pour profiter de leurs bienfaits et les utiliser en toute sécurité. Compte tenu de ce pouvoir immunostimulant, plusieurs précautions d’emploi doivent par ailleurs être respectées en cas de troubles de l’immunité (voir ci-dessous). Leur usage est également déconseillé pendant la grossesse, l’allaitement et chez les enfants de moins de 12 ans. Enfin, elles peuvent provoquer des réactions allergiques chez les personnes allergiques aux plantes de la famille des Astéracées.
Le Ginseng, l’Eleuthérocoque et la Rhodiole font partie des plantes adaptogènes les plus connues. Elles ont en commun la capacité de limiter la fatigue, d’améliorer la résistance à l’effort, d’augmenter les capacités de concentration et de résistance aux infections… Pour garantir leur qualité et leur teneur en principes actifs, il est préférable de les utiliser sous forme d’extraits titrés. Et, compte tenu de leurs précautions d’emploi, il est recommandé de demander l’avis d’un professionnel de santé.
L’Ashwagandha, « nouvelle venue » en occident, serait l’une des plantes adaptogènes les plus puissantes. Aussi appelée « ginseng indien », elle nous vient de la médecine ayurvédique où son nom signifie « odeur de cheval » pour évoquer la puissance de l’animal. Elle a déjà fait l’objet de nombreuses études mais il manque encore des données concernant des effets sur le système immunitaire. Faire une cure de poudre d’Ashwaganda sera surtout utile en cas de fatigue ou de stress chronique. Plus souple d’emploi que les autres plantes adaptogènes, son usage reste malgré tout réservé à l’adulte. Il ne convient pas non plus aux femmes enceintes et allaitantes. Et un avis médical est conseillé en cas de troubles thyroïdiens.
Compte tenu des effets bénéfiques de la vitamine C sur le fonctionnement du système immunitaire et l’assimilation du fer, il est important de veiller à couvrir ses besoins pour mieux lutter contre les infections. Une alimentation riche en fruits et légumes frais de saison devrait suffire. Mais, en cas d’infection, d’anémie ou de fatigue, il est intéressant de faire une cure en privilégiant des sources naturelles qui, en plus de la vitamine C, apporteront aussi d’autres nutriments aux propriétés antioxydantes complémentaires : sous forme de poudres (Acérola ou Camu Camu) ou de fruits secs (baies de Goji).
La tisane de Thym est traditionnellement utilisée pour le traitement des troubles respiratoires et digestifs. Ses propriétés antiinfectieuses sont largement documentées par de nombreuses études, réalisées en majorité sur son huile essentielle. Quant à son action sur l’immunité, une publication de 2012 a permis de mettre en évidence les effets d’un extrait aqueux sur les cellules dendritiques, des cellules qui jouent à la fois un rôle de sentinelle et de chef d’orchestre de la réponse immunitaire. Sans être immunostimulant comme l’Echinacée, le Thym serait davantage immunomodulant et plus souple d’utilisation. C’est par ailleurs une plante tonique et antioxydante qui aidera aussi en période de convalescence.
En infusion : pour une tasse, verser de l’eau frémissante (idéalement à une température de 80-90°C) sur une cuillerée à soupe de plantes sèches. Couvrir et laisser infuser pendant 10 à 15 minutes puis filtrer la préparation. Boire 2-3 tasses par jour. Faire une pause d’une semaine après 3 semaines d’utilisation.
Pour soutenir le système immunitaire, il existe d’autres solutions naturelles que les plantes. Elles pourront s’utiliser sous forme de cure d’automne en prévention des maux de l’hiver ou en période de convalescence quand le système immunitaire a été affaibli. Voici plusieurs alternatives au choix.
Produite et utilisée par les abeilles pour protéger leur ruche, la propolis est utilisée depuis l’Antiquité pour soigner les plaies, mais aussi pour embaumer les morts. Elle entre encore aujourd’hui dans la composition de produits contre les maux de gorge, les infections des gencives ou encore l’herpès, notamment pour ses propriétés anti-infectieuses. Même s’il n’est pas possible d’indiquer sur les compléments alimentaires que la Propolis permet de « soutenir le fonctionnement du système immunitaire », des tests réalisés in vivo et in vitro montrent bien qu’elle agit sur les deux types de réponse immunitaire : innée et acquise. La Propolis aurait en effet une action sur différentes cellules du système immunitaire et sur la production d'anticorps.
L'extrait hydroalcoolique de propolis peut s’utiliser sous forme de cure en prévention ou dès les premiers signes d’une infection :
Le rôle de l’Argile dans le soutien de l’immunité pourrait s’expliquer par son action globale sur l’écosystème intestinal : amélioration du mucus et protection de la paroi digestive, élimination des virus et des bactéries pathogènes tout en aidant au développement de la flore digestive, neutralisation de toxines bactériennes, adsorption de métaux lourds toxiques pour l’organisme… La présence de Cuivre dans sa composition contribuerait également à stimuler l’immunité. Attention cependant, car l’argile interfère avec le fer qu’elle va fixer dans le tube digestif, avec un risque de carence en fer en cas de consommation trop prolongée.
Pour faire une cure d'argile, l’idéal est de consommer une cuillère à café par jour (soit le matin au réveil, soit le soir au coucher, toujours à distance de la prise de médicaments). Commencer avec de l'eau d'argile durant les premiers jours et poursuivre avec de l'eau argileuse pendant trois semaines maximum. Faire ensuite une pause d’une à plusieurs semaines.
L’oligothérapie utilise des minéraux en très faibles quantités (oligo-éléments) pour rééquilibrer un organisme en tenant compte du terrain, ou de la « diathèse », de chaque personne. Il s’agit de médicaments utilisés en cure comme « modificateurs de terrain » pour apporter un soutien personnalisé en cas de baisse d'immunité :
Les probiotiques sont des bactéries non pathogènes qui viennent en soutien des bactéries du microbiote intestinal pour aider à limiter la prolifération des germes indésirables et renforcer l’effet barrière au niveau de l’écosystème intestinal. Il existe aujourd’hui un grand nombre de produits à base de probiotiques, avec un large choix de souches. Il est donc recommandé de demander l’avis d’un spécialiste pour faire une sélection en fonction de l’effet recherché. Des cures avec des compléments alimentaires pourront dans certains cas s’avérer nécessaires, notamment après un traitement antibiotique.
Le shiitaké, le maïtaké et le reishi sont des champignons utilisés dans la médecine traditionnelle asiatique. Il est possible aujourd’hui de les trouver seuls ou en mélange sous forme de compléments alimentaires. Leur capacité à stimuler les défenses immunitaires est attribuée aux polysaccharides et aux bêta-glucanes qu’ils contiennent et qui agiraient au niveau de la flore intestinale.
L’âge et certaines maladies ou traitements sont connus pour affaiblir nos défenses naturelles. Il existe par ailleurs plusieurs facteurs liés au mode de vie qui sont directement en lien avec une baisse de l’immunité et sur lesquels il est possible d’agir. Les prendre en compte est essentiel pour permettre aux plantes et autres produits naturels d’être plus efficaces.
Dans le cas de certaines maladies chroniques, l’usage des plantes médicinales est délicat, voire déconseillé. Il s’agit notamment des maladies auto-immunes et de toutes les pathologies en lien avec le système immunitaire.
C’est la raison pour laquelle, compte tenu de leur capacité à stimuler les défenses de l’organisme, les Echinacées vont être contre-indiquées chez les personnes qui souffrent de sclérose en plaques, de maladies auto-immunes, d’immunodéficience ou d’immunosuppression (VIH/sida, greffe d’organe, chimiothérapie, etc.) ou de troubles sanguins de la lignée des globules blancs (leucémie, lymphome, etc.).
Concernant les autres plantes et les autres solutions naturelles présentées dans cette page, les publications actuelles parlent davantage d’un effet immunomodulant qui présenterait moins de risques qu’un effet immunostimulant. Il faudra cependant toujours demander l’avis d’un professionnel de santé en cas de traitement chronique pour éviter tout risque d’interaction.
Publication : Hernot, F. (2006). L’argile, son utilisation à l'officine. http://dune.univ-angers.fr/fichiers/20073109/2016PPHA5426/fichier/5426F.pdf
Publication : Taqarort, N., & Chadli, S. (2020). Vitamine D et risque des infections respiratoires aiguës : grippe et COVID-19. Nutrition clinique et métabolisme, 34(3), 211‑215. https://doi.org/10.1016/j.nupar.2020.05.003
Publication : Vernay, M., Sponga, M., Salanave, B., Oleko, A., Deschamps, V., Malon, A., & Castetbon, K. (2011). O62 Statut en vitamine D de la population adulte en France : l’étude nationale nutrition santé (ENNS, 2006–2007). Nutrition clinique et métabolisme, 25, S50‑S51. https://doi.org/10.1016/s0985-0562(11)70066-8
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Publication : Amirghofran, Z., Ahmadi, H., & Karimi, M. T. (2012). IMMUNOMODULATORY ACTIVITY OF THE WATER EXTRACT OFThymus vulgaris, Thymus daenensis, ANDZataria multifloraON DENDRITIC CELLS AND T CELLS RESPONSES. Journal of Immunoassay & Immunochemistry, 33(4), 388‑402. https://doi.org/10.1080/15321819.2012.655822
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Ouvrage : Fleurentin, J., Pelt, J. M., & Hayon, J. C. (2016). Du bon usage des plantes qui soignent. Rennes, France: Ouest-France.
Ouvrage : Couic Marinier, F., & Touboul, A. (2017). Le guide Terre vivante des huiles essentielles. Terre Vivante Editions.
Ouvrage : Couic-Marinier, F., & Frély, R. (2019). Huiles essentielles : Le guide complet pour toute la famille. SOLAR
Ouvrage : Faucon, M., & Canac, P. (2018). Traité d'Aromathérapie scientifique et médicale, les hydrolats (1st ed.). Paris: Éd. Sang de la Terre.
Ouvrage : de la Charie, T. (2019). Se soigner par les huiles essentielles. Pourquoi et comment ça marche ? Editions du Rocher.
Ouvrage : Pineau, L. (2019). Le grand livre de la gemmothérapie. Leduc.s Éditions.
Ouvrage : Coudron C. & Pourrias B. (2014). Guides des ordonnances de nutrition. Editions de Santé.
Ouvrage : Morel, J. M. (2008). Traité pratique de phytothérapie: Remèdes d'hier pour médecine de demain, Escalquens, France: Editions Jacques Grancher.
Site Web : Manque d’activité physique et excès de sédentarité : une priorité de. (2023, 16 février). Anses - Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. https://www.anses.fr/fr/content/manque-d%E2%80%99activit%C3%A9-physique-et-exc%C3%A8s-de-s%C3%A9dentarit%C3%A9-une-priorit%C3%A9-de-sant%C3%A9-publique
Site Web : Cara, G. (2022, août 16). Quand le stress affaiblit les défenses immunitaires. Salle de presse de l’Inserm. https://presse.inserm.fr/quand-le-stress-affaiblit-les-defenses-immunitaires
Site Web : WikiPhyto, l’encyclopédie de la phytothérapie. (s. d.). http://www.wikiphyto.org/wiki/Accueil