L’Harpagophytum communément appelé « Griffe du Diable », est traditionnellement employé pour soulager les rhumatismes, les tendinites, les troubles digestifs ou pour stimuler l’appétit. De nos jours, ses bienfaits sur les articulations ne sont plus à prouver et les autorités de santé (comme l’OMS) reconnaissent d’ailleurs son intérêt. Associés au Curcuma, au Cassis ou à la Prêle des champs, les compléments alimentaires à base d’Harpagophytum aident à apporter plus de mobilité et de souplesse aux articulations tout en réduisant la douleur. Les propriétés anti-inflammatoires, analgésiques et chondroprotectrices de la Griffe du Diable sont aussi très utilisées en médecine vétérinaire (chien, chat ou cheval), notamment en cas de pratique sportive intensive, de compétition ou de pathologie articulaire. Nom latin : Harpagophytum procumbens. Famille botanique : Pédaliacées. Partie utilisée : Tubercules secondaires.
Cet article a été mis à jour le 02/12/2024-Sous quelle forme l’utiliser ?
-En cas de douleurs articulaires et d’arthrose
-En médecine vétérinaire : chien, chat et cheval
-En cas d’hypertension artérielle ?
-Autres bienfaits de l’Harpagophytum
-Précautions d’emploi et effets secondaires
-Quelles associations faire avec l’Harpagophytum ?
-Griffe du diable : quel lien avec les fruits de l’Harpagophyton ?
Ils sont généralement très prisés, car ils permettent de garantir un dosage précis en principes actifs (harpagosides) tout en évitant le risque de surdosage. Ces formulations généralement préconisées pour le confort articulaire associent souvent l’Harpagophytum à d’autres actifs naturels aux propriétés anti-inflammatoires, antalgiques ou reminéralisantes. Les gélules comme les comprimés ont l’avantage de réduire considérablement l’odeur et le goût amer de cette racine et de faciliter ainsi leur ingestion. Ces formulations ont en revanche le désavantage de ne pas convenir aux personnes présentant des troubles de déglutition.
La poudre d’Harpagophytum résulte du broyage mécanique des racines secondaires d’Harpagophytum. Sous cette forme, l’Harpagophytum est peu onéreux et permet d’adapter le dosage selon ses propres besoins et la réponse de l’organisme face à cette racine. Il est possible de consommer cette poudre de diverses façons : diluée dans une petite quantité d’eau, dans un jus de fruits ou encore mélangée dans une compote pour améliorer le goût. La réalisation d’une infusion à partir de la poudre est également envisageable.
C’est une solution très concentrée en molécules actives. Cette préparation est issue de la macération des racines secondaires d’Harpagophytum dans de l’alcool ou dans une solution eau-alcool. Compte tenu de la présence d’alcool, la teinture mère n’est pas adaptée aux personnes ne consommant pas d’alcool ou dans le cadre de certaines pathologies.
En macération, en décoction, ou en infusion, les tisanes d'Harpagophytum permettent d’extraire traditionnellement les molécules actives et solubles de la racine dans l’eau. Pour profiter pleinement des bienfaits de la tisane, il est conseillé de boire 2 à 3 tasses par jour. Selon les formes de l’Harpagophytum (poudre, racines ou tubercules, coupés ou non), on concoctera une :
Décoction-macération : ajouter 4 à 5 g de tubercules secondaires d’Harpagophytum dans 300 mL d’eau bouillante. Le temps de macération est estimé à 8 heures. Puis, filtrer la préparation. Source : Lorrain, É. (2019). Grand Manuel de phytothérapie. Dunod, p.568.
Décoction : incorporer 1 cuillère à café de racines coupées d’Harpagophytum dans de l’eau froide (soit environ une tasse). Porter l’ensemble à l’ébullition durant 15 à 20 minutes. Filtrer et boire doucement la décoction. Source : Lorrain, É. (2019). Grand Manuel de phytothérapie. Dunod, p.568.
Infusion : introduire 1 cuillère à café de poudre d’Harpagophytum par tasse d’eau frémissante (80-90°C). Couvrir la tasse et laisser infuser. La durée d’infusion est estimée entre 5 à 10 minutes. Avant de déguster l’infusion, penser à filtrer.
Présentes sous la forme d’ampoules monodoses, ce sont des concentrées en extraits aqueux. Ces formulations assurent tout au fil de la cure une uniformité, une stabilité et une quantité très précise en Harpagophytum. Elles contiennent dans certaines préparations des plantes supplémentaires aux effets similaires ou complémentaires. Simples d’utilisation, les ampoules monodoses se diluent dans un grand volume d’eau.
Ces formulations sont réservées aux zones douloureuses très localisées telles que les genoux et les cervicales. Elles sont pertinentes pour apaiser rapidement les douleurs de l’arthrose, de la tendinite ou de l’arthrite grâce à leur pouvoir pénétrant. Ces topiques à la Griffe du Diable peuvent contenir des huiles essentielles ou d’autres extraits naturels aux propriétés anti-inflammatoires ou antalgiques. La combinaison voie orale et topique est dans certaines situations possibles.
L’Harpagophytum a été au cœur de plusieurs études cliniques de bonne qualité concernant ses bienfaits contre les douleurs articulaires, y compris l’arthrose. Ces études admettent que l’Harpagophytum permet de calmer les douleurs tout en améliorant les raideurs au niveau des articulations. L’Harpagophytum est avant tout connu pour son action anti-inflammatoire et analgésique.
En 2003, une étude ouverte a remarqué une diminution de la douleur et des symptômes de la maladie (craquement et limitation articulaire, notamment) chez les sujets présentant une arthrose du genou ou de la hanche et ayant suivi une supplémentation orale de 2 400 mg d’extrait aqueux de tubercule d’Harpagophytum pendant 12 semaines. Une réduction des marqueurs de l’inflammation a aussi été constatée (la vitesse de sédimentation et la protéine C-réactive) chez ces sujets. L’Harpagophytum interviendrait entre autres sur les molécules pro-inflammatoires empêchant ainsi la détérioration du cartilage (interleukine-1 et TNF- α) et la douleur (prostaglandine E2 et COX-2).
Concernant les autorités de santé, ils reconnaissent l’intérêt de l’Harpagophytum en cas de douleurs articulaires. L’OMS (Organisation mondiale de la Santé) établit l’usage traditionnel de l’Harpagophytum comme « cliniquement avéré dans le traitement des douleurs liées aux rhumatismes » et l’AEM (Agence européenne du médicament) admet que l’Harpagophytum permet de « soulager les douleurs articulaires mineures ».
Contrairement aux douleurs articulaires, il n’y a pas d’études scientifiques réalisées en cas de tendinite. Seule l’OMS accorde son usage « traditionnel » en cas de tendinite. En effet, la Griffe du Diable peut être pertinente pour les personnes présentant une tendinite. En règle générale, en plus du repos et de la rééducation fonctionnelle, la prise de médicaments de type antalgique ou anti-inflammatoire est préconisée afin de réduire l’inflammation au niveau du tendon et de soulager la douleur. Possédant des propriétés comparables à ces médicaments, l’Harpagophytum topique ou oral peut se révéler intéressant.
Bien que l’Harpagophytum ait montré ses preuves en médecine humaine, la Griffe du Diable est aussi très présente en médecine vétérinaire pour le cheval, le chien ou le chat. En effet, l’Harpagophytum présente des propriétés anti-inflammatoires, analgésiques et chondroprotectrices intéressantes. Cette racine peut être préconisée pour les animaux pratiquant des compétitions, des activités physiques particulièrement intenses (le saut d’obstacles, le cani-VTT, le canicross, etc.) ou tout simplement en cas de pathologies articulaires. Comme chez l’homme, l’Harpagophytum aide à donner davantage de souplesse et de mobilité aux articulations tout en soulageant les éventuelles douleurs. Une étude ancienne a d’ailleurs révélé l’efficacité d’une préparation à base d’Harpagophytum chez des chevaux présentant des signes d’éparvin (osthéoarthrite des articulations distales du jarret). Vigilance toutefois pour les chevaux pratiquant des courses hippiques, car l’Harpagophytum est considéré par les Codes des Courses telle qu’une substance prohibée et, de ce fait, comme une substance dopante.
Traditionnellement, les extraits de racines secondaires d’Harpagophytum sont employés par les tradipraticiens sud-africains afin de réguler l’hypertension et les troubles cardiaques. Dans ce cadre, des études in vivo sur le modèle murin ont observé une réduction de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque après administration d’un extrait aqueux ou méthanolique brut de racines secondaires d’Harpagophytum.
Pourtant, l’Harpagophytum est déconseillé en cas de maladies cardiovasculaires, y compris l’hypertension artérielle. Cette affirmation a d’ailleurs été soutenue par l’EMA (Agence européenne du médicament). De plus, le risque d’interaction entre les médicaments contre l’hypertension et une supplémentation en Harpagophytum n’est pas exclu, selon certains rapports scientifiques. C’est pourquoi, en cas d’hypertension artérielle, l’Harpagophytum ne doit ni être utilisé comme alternative à un traitement médicament en cours, ni en complément de ce médicament.
En phytothérapie, l’Harpagophytum a d’autres indications relatives à son usage traditionnel. Elles sont pour le moment peu documentées et demeurent moins courantes que pour les douleurs articulaires.
En cas de troubles digestifs : Traditionnellement, les indigènes en provenance de Bochimans et de Bantous de Namibie employaient l’Harpagophytum pour mettre fin aux indigestions. Aujourd’hui, les autorités de santé (comme l’EMA) admettent l’utilisation traditionnelle « pour soulager les ballonnements et les flatulences ». L’EMA suggère un traitement de 2 semaines en cas de troubles digestifs. Ses bienfaits pourraient être liés aux substances amères contenues dans l’Harpagophytum. Du fait de son action sur la paroi stomacale, l’Harpagophytum pourrait activer la sécrétion de sucs gastriques et de ce fait, aider à digérer les aliments. Récemment, des études en cours travaillent sur l’intérêt de l’Harpagophytum dans les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI).
L’Harpagophytum est une plante non toxique. Toutefois, comme toutes les plantes médicinales, l’Harpagophytum présente des effets secondaires et des contre-indications à prendre en compte avant toute consommation.
Effets secondaires : Ils sont rares et peuvent survenir en cas de prise importante d’Harpagophytum : troubles gastro-intestinaux (les maux de ventre, la diarrhée et les vomissements), vertiges, maux de tête ou allergies cutanées (une urticaire, une éruption cutanée, voire un œdème du visage).
Femmes enceintes, allaitantes et enfants : L’AEM (Agence européenne du médicament) déconseille l’usage de l’Harpagophytum aux femmes enceintes et allaitantes. En effet, les études réalisées chez le modèle murin rapportent un effet utérotonique et tératogène de l’Harpagophytum. Depuis 2016, l’AEM la déconseille aussi pour les enfants et les adolescents de moins de 18 ans à cause de données insuffisantes.
Autres contre-indications : La prise de complément alimentaire à base d’Harpagophytum n’est pas recommandée en cas de maladies cardiovasculaires, de reflux gastro-œsophagien, d’ulcère gastrique ou duodénal, de calculs biliaires ou d’antécédents (propriétés cholérétiques). De plus, un avis médical est vivement conseillé pour les personnes présentant une insuffisance rénale ou une hypoglycémie. Enfin, il n’est pas recommandé d’ingérer ou d’appliquer sur la peau de l’Harpagophytum en cas d’hypersensibilité aux molécules actives qu’il contient.
Interactions médicamenteuses, plantes médicinales : L’Harpagophytum peut interagir avec un certain nombre de traitements médicamenteux : les antiplaquettaires, les antiarythmiques (la Digoxine), les anticoagulants (dont la Warfarine), les antihypertenseurs et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (risque hémorragique). Redoubler de vigilance pour les plantes médicinales détenant les mêmes propriétés.
L’Harpagophytum et le Curcuma sont une association pertinente permettant d’agir contre la douleur. Par sa composition en curcumine (famille des curcuminoïdes), le Curcuma diminue l’inflammation au niveau de l’articulation, permettant ainsi de calmer la douleur. Son efficacité a d’ailleurs été étudiée en cas d’arthrose. En 2021, une revue systémique a déclaré que la prise de Curcuma permet d’améliorer la douleur et la fonction physique des sujets présentant une arthrose du genou. De plus, elle suggère que son efficacité est semblable aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et qu’une supplémentation permettrait de diminuer la prise de médicaments (AINS et paracétamol).
Le Cassis (Ribes nigrum L.) et ses feuilles ainsi que ses baies noires sont utilisés en phytothérapie pour accroître le volume urinaire, pour ses bienfaits sur la santé oculaire ou en cas de jambes lourdes, mais aussi pour soulager les douleurs rhumatismales. Récemment, l’ESCOP (Coopération scientifique européenne en phytothérapie) a admis l’utilisation traditionnelle du Cassis telle qu’un « traitement complémentaire visant à soulager les douleurs dues à des rhumatismes ».
La Reine des prés (Filipendula ulmaria (L.) Maxim) est utilisée aussi bien en tisane, qu’en complément alimentaire (comprimés, gélules, etc.) ou en macérat huileux de Reine des prés. Moins connue que l’Arnica, la Reine des prés est en revanche une très bonne alternative en raison de son action anti-inflammatoire et anti-rhumatismale. Ces dernières sont liées à la quercétine et aux dérivés de l’acide salicylique contenus dans la fraction d’huile essentielle de la plante.
L’Ortie (Urtica dioica L.) interviendrait à plusieurs niveaux dans le mécanisme inflammatoire (inhibition des prostaglandines, des thromboxanes et des enzymes de la cascade arachidonique) afin de diminuer les douleurs articulaires. Les autorités de santé reconnaissant l’intérêt des feuilles d’Ortie en cas de douleurs articulaires, notamment l’EMA l’approuve comme traitement complémentaire.
La Prêle des Champs (Equisetum arvense) est intéressante en cas d’affections ostéo-articulaires. Reminéralisante, la Prêle des Champs intervient dans la densité minérale osseuse et active aussi la production du collagène des tissus osseux et conjonctifs. À cela s’ajoutent les propriétés anti-inflammatoires de la plante.
Les cataplasmes d’Argile Verte sont l’une des solutions naturelles bien connues par la population. Contrairement aux autres extraits naturels, les cataplasmes d’Argile Verte sont dépourvus de contre-indications et sont bien tolérés. La combinaison des propriétés anti-inflammatoires, antalgiques et décontractantes de l’Argile Verte présente un intérêt pour réduire la réaction inflammatoire et, par conséquent, la douleur. En revanche, les bienfaits de l’Argile Verte sont visibles sur le long terme. C’est pourquoi nous vous recommandons de mettre quotidiennement des cataplasmes sur les articulations douloureuses.
Les huiles essentielles anti-inflammatoires et antalgiques à privilégier en cas de douleurs articulaires sont principalement l’huile essentielle de Gaulthérie Odorante (ou Couchée) ou l’huile essentielle d’Eucalyptus Citronné. C’est notamment la composition exclusive en salicylate de méthyle (entre 95 à 99,99 %) de la Gaulthérie et en citronellal de l’Eucalyptus Citronné qui sont à l’origine des propriétés précédemment citées. Ces huiles essentielles permettent d’inhiber la production de médiateurs pro-inflammatoires (ou les enzymes intervenant dans le mécanisme de l’inflammation) tout en calmant la zone douloureuse.
Anti-inflammatoire : Ses propriétés anti-inflammatoires résultent de la combinaison des molécules présentes dans l’Harpagophytum et tout particulièrement en iridoïdes (harpagosides, etc.). L’Harpagophytum agit sur plusieurs étapes dans la réaction inflammatoire à la fois sur les molécules, mais aussi sur les médiateurs de l’inflammation (cytokine, prostaglandine, cyclooxygénase-2, lipoxygénase, oxyde nitrique, etc.).
Analgésique : Ces dernières semblent être liées aux propriétés anti-inflammatoires de l’Harpagophytum. Le mécanisme d’action analgésique n’est pour le moment pas suffisant décrit. Toutefois, étant donné que l’Harpagophytum diminue l’inflammation, il se pourrait qu’il apaise au moins localement la douleur.
Chondroprotectrice : La Griffe du Diable pourrait agir en prévention de la dégradation du cartilage, et ce, en inhibant l’activation et la synthèse des interleukines (IL-1B et IL-6), de TNF-a, des métalloprotéases matricielles et des élastases. Parallèlement, on suppose que l’inflammation interviendrait également dans la dégradation du cartilage. En agissant sur l’inflammation, la Griffe du Diable diminue les répercussions sur les cartilages.
L’Harpagophytum tire son nom du grec phyton et harpagos signifiant respectivement « plante » et « crochet » ou « grappin » en lien avec les formes des fruits. Les fruits de l’Harpagophytum sont en réalité une capsule ligneuse recouverte d’aiguillons. L’ensemble des terminaisons crée une couronne de crochets courbes et acérés tels que des griffes. Ces dernières se fixent sur les sabots ou le pelage des animaux, nécessitant de nombreux mouvements de la part des animaux pour les retirer. On dit que ces animaux sont endiablés. C’est pourquoi l’Harpagophytum est aussi appelé « Griffe du Diable » pour l’anecdote. Même si ce sont toujours ces fruits emblématiques qui illustrent les livres ou les articles au sujet de l’Harpagophytum, ce sont par contre ses racines (tubercules secondaires) qui sont utilisés en phytothérapie.
L’Harpagophytum est utilisé depuis des siècles en Afrique australe et c’est seulement en 1953 que la Griffe du Diable apparaît en Europe. Dans les années 70-80, les bienfaits de la racine secondaire d’Harpagophytum (Harpagophytum procumbens) se répandent très rapidement dans le monde entier. Victime de son succès, cette racine aurait fait l’objet de pillage jusqu’à être menacée de disparition. Désormais, sa récolte est particulièrement contrôlée et réglementée. Elle obtient même le statut de protection. De plus, la Pharmacopée européenne admet l’utilisation des racines secondaires de l’Harpagophytum zeyheri, une espècecultivable en remplacement de l’Harpagophytum procumbens. Cette espèce d’Harpagophytum présente aussi des propriétés anti-inflammatoires et analgésiques intéressantes en cas de rhumatismes ou de tendinite, par exemple.
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GUIDE L'impact positif de l'Harpagophytum sur l'arthrose
GUIDE Connaissance des effets secondaires et précautions d'emploi de l'Harpagophytum
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