Le foie est un organe essentiel, au cœur de nombreuses fonctions dans l’organisme. Il joue notamment un rôle central dans la digestion des aliments et l'élimination des toxines. D’où l’intérêt de le soutenir pour rester en bonne santé. Nos anciens l’avaient bien compris puisque des cures de détoxification sont pratiquées sous différentes formes dans toutes les cultures. Le plus souvent recommandée au début du printemps, « une détox » peut aussi être réalisée après les excès des fêtes de fin d'année, à l'automne avant d’affronter l'hiver, ou à tout autre moment de l’année en fonction des besoins individuels… Parmi les nombreuses solutions naturelles qui existent, voici une sélection pour vous aider à choisir celle qui vous conviendra le mieux.
Cet article a été mis à jour le 20/03/2024-Top 5 des détox naturelles du foie
-Quels sont les symptômes d'un foie engorgé ?
-Est-il nécessaire de faire une détox du foie ?
-Comment réussir sa détox du foie ?
-Le Citron, idéal après les fêtes
-Le Bouleau, pour la cure de printemps
-Les plantes spécialistes du drainage du foie
-L’Argile verte, pour nettoyer et rééquilibrer
-La Chlorelle, détoxifiante et antioxydante
1. Pour les lendemains de fêtes difficiles : l’huile essentielle de Citron, avec de l'huile essentielle Gingembre s’il y a des nausées.
2. Dès l’arrivée du printemps : une cure de sève de Bouleau ou de macérat de bourgeons de Bouleau pubescent.
3. Au choix pour son action globale sur le foie : le Romarin en infusion, le macérat de bourgeons de Romarin ou l’huile essentielle de Romarin à Verbénone.
4. En cas d’intoxication : le Chardon-Marie, l’Argile verte ou la Chlorelle.
5. Pour un drainage puissant du foie et des reins : le macérat de bourgeons de Genévrier.
Attention, en cas de maladies du foie, de risques d’obstruction biliaire, d’insuffisance rénale, de traitement chronique en cours. Un avis et un suivi médical sont nécessaires.
Une cure détox dure généralement 3 semaines maximum. Ne pas oublier de boire au moins un litre 1/2 d’eau par jour. Opter pour une alimentation équilibrée et un mode de vie hypotoxique, sans oublier la pratique régulière d’une activité physique.
Engorgé ? Encombré ? Surchargé ? Encrassé ? Quels sont les signaux envoyés par le foie pour faire savoir qu’il est mal en point, qu’il a besoin d’aide, qu’il est temps de faire une cure détox. Difficile malheureusement de s’y retrouver, car la plupart des symptômes ne sont pas spécifiques : baisse de vitalité et fatigue, digestion lente ou difficile, mauvaise haleine, maux de tête, nausées, problèmes de peau… En effet, il peut tout aussi bien s’agir d’une carence nutritionnelle, de troubles gastriques, d’un manque de sommeil… ou de la fameuse «crise de foie» qui, contrairement à ce qu’indique son nom, ne concerne pas que le foie. C’est tout le système hépatobiliaire et digestif qui signale alors qu’il est débordé. Les fameux lendemains de fêtes difficiles !
Rien à voir avec les symptômes d’une hépatite aiguë ou d’une obstruction des voies biliaires qui sont des urgences médicales. Toute douleur brutale dans le creux de l’estomac, tout jaunissement de la peau et des yeux, une fatigue extrême avec des nausées et des vomissements… nécessitent en effet une consultation sans tarder. Faire une détox dans ces cas-là n’est pas indiqué au risque d’aggraver la situation.
Dans toutes les cultures du monde, il existe depuis toujours des traditions de drainage destinées à éliminer les toxines, à revitaliser l’organisme… que ce soit en prévention (cures de printemps ou d’automne) ou à la suite d’excès, d’intoxications… Qu’en est-il aujourd’hui ? Certains disent que cela ne sert à rien et que le foie se débrouille très bien tout seul. Il y a certes un effet de mode, mais est-ce vraiment superflu de vouloir faire une détox du foie de nos jours ?
Rappelons que le foie est au cœur de nombreuses fonctions vitales pour l’organisme (filtration du sang, métabolisme des glucides et des protéines, digestion des graisses…). Il joue également un rôle central dans la dégradation des toxines présentes dans les aliments ou l’environnement (alcool, tabac, médicaments, pesticides, additifs…). Le foie est certes bien équipé pour remplir toutes ces fonctions, mais en raison de l’alimentation moderne et des niveaux actuels d’exposition aux polluants… le foie peut quand même avoir besoin d’être soutenu notamment :
Pour faire une "bonne" détox du foie, il n'est pas nécessaire de se lancer dans une cure trop restrictive qui exposerait à des risques de fatigue et de carences dangereuses pour la santé. L'idée n'est pas non plus de trouver LE complément alimentaire « miracle » ou L'anti-oxydant le plus puissant. Il s'agit plutôt de l’inscrire dans une démarche globale en veillant à :
La période des fêtes est souvent l’occasion de faire des excès (alcool, repas copieux, sucreries…). Les lendemains peuvent alors être difficiles : baisse de vitalité, sensation de lourdeur, digestion lente, mauvaise haleine, nausée, langue chargée, difficultés à digérer… Autant de signes d’un foie « engorgé » qui invitent à prendre du Citron pour passer le cap. Son jus, comme son huile essentielle, sont connus pour aider à mieux digérer.
Composée majoritairement de limonène, l’huile essentielle de Citron est dotée de propriétés très intéressantes en cas de « crise de foie ». À la fois hépato-protectrice, gastro-protectrice et antioxydante, elle s’utilise aussi bien seule qu’en synergie détox avec d’autres huiles essentielles. Ne pas oublier qu’elle est également efficace en inhalation pour réduire les nausées.
Pour bénéficier de ses vertus stimulantes, digestives ou détox, il est souvent conseillé de boire un verre d'eau avec du jus de citron le matin à jeun. Son action sur le foie est moins étudiée que celle de l’huile essentielle, mais le Citron est déjà connu pour être une bonne source de vitamine C aux propriétés antioxydantes. De plus, même si cela peut sembler paradoxal, le Citron fait aussi partie des aliments alcalinisants. Malgré son goût acide, il contribue en effet à l’équilibre acido-basique de l’organisme, une action complémentaire et synergique de la détox hépatique.
L’association du Citron avec le Gingembre est souvent proposée pour soi-disant perdre du poids. Si cette indication est très discutable, il peut en revanche être intéressant de les associer dans le cadre d’une détox. Protecteur hépatique et gastrique, stimulant de la production de bile, anti-oxydant… le Gingembre va agir en synergie pour aider à mieux digérer et contribuer à la santé hépatique. Le Gingembre est plus particulièrement indiqué quand il y a des nausées ou des vomissements. Quelques exemples de combinaisons :
Doté de capacités exceptionnelles à s’adapter et se régénérer, le Bouleau est considéré comme l’arbre de l’éternelle jeunesse. Mais il n’est pas toujours facile de s’y retrouver car il est utilisé sous différentes formes en phytothérapie (sève, écorce, jus, feuille, macérat de bourgeons…) et il existe aussi plusieurs espèces de Bouleau différentes.
Récoltée lorsque la sève est montante, « l’eau de Bouleau » est attendue autour du mois de mars pour pouvoir se lancer dans cette fameuse cure de printemps. Elle apporte différents minéraux sous une forme bien assimilée par l’organisme et son action drainante, surtout urinaire, contribue à éliminer les toxines accumulées dans l’organisme durant l’automne et l'hiver. Elle est également peu calorique, mais ce n’est pas suffisant pour en faire un produit minceur miracle à lui tout seul.
En gemmothérapie, c’est le macérat de bourgeons de Bouleau pubescent qui est le plus indiqué pour faire un grand nettoyage de printemps. Grâce à ses propriétés drainantes et détoxifiantes, il active les fonctions d’élimination hépatobiliaires et urinaires. Il protège à la fois les reins et le foie.
Les feuilles de Bouleau (Betula pubescens ou alba et Betula pendula ou verrucosa) sont traditionnellement conseillées pour faciliter les fonctions d’élimination urinaires et digestives. Elles peuvent s’utiliser sous différentes formes : feuilles sèches, jus de Bouleau (extrait aqueux), teinture mère, poudre…
Cholagogues, cholérétiques, hépatoprotectrice ou dépuratives… nombreuses sont les plantes spécialistes du foie. Elles peuvent s’utiliser seules ou combinées entre elles, en tisanes ou en compléments alimentaires. La nature étant bien faite, la plupart des plantes « du foie » ont aussi des effets sur les fonctions d’élimination rénale. Il est quand même possible de les retrouver en association avec des plantes qui sont davantage spécialistes de la détox rénale comme : l’Aubier de Tilleul, la Bardane, les queues de Cerises, le Chiendent, l’Hibiscus, l’Orthosiphon, la Piloselle, les feuilles de Pissenlit,…
En phytothérapie, le Romarin (Rosmarinus officinalis) est considéré comme LA plante aux multiples bienfaits pour le foie. Il est en effet traditionnellement utilisé comme cholérétique et cholagogue, hépatoprotécteur et antiradicaux libre... Une polyvalence exceptionnelle conférée par plusieurs composants actifs comme l’acide rosmarinique ou la verbénone, et plusieurs types d’extraits utilisables : infusions de plante sèche, teintures mères, macérats de bourgeons, huiles essentielles ou hydrolats aromatiques.
Utilisées depuis l’Antiquité, les feuilles de Romarin sont encore proposées de nos jours pour soulager les digestions difficiles et les maux de ventre, pour la santé hépatique… et pour faire une cure détox.
Sous forme de macérat de bourgeons de Romarin, il possède à la fois des propriétés stimulantes hépato-biliaires, détoxifiantes générales, mais aussi hépatoprotectrices. Il est conseillé pour détoxifier et régénérer un foie surchargé. L’action hépatoprotectrice du macérat de bourgeons de Romarin serait même plus importante que celle de la plante entière.
Parmi les trois HE produites par le Romarin, c’est l’huile essentielle de Romarin à Verbénone qui est à privilégier pour faire un drainage hépatique. L’huile essentielle de Romarin à camphre, est quant à elle réservée pour les douleurs articulaires et musculaires tandis que l’huile essentielle de Romarin à cinéole est recherchée pour ses effets sur la sphère ORL et respiratoire. Comme l’huile essentielle de Genévrier, celle de Romarin est rarement utilisée seule, mais plutôt en association avec d’autres huiles essentielles aux propriétés détox complémentaires (ex : huile essentielle de Carotte, huile essentielle de Citron et huile essentielle de Menthe Poivrée).
Les propriétés hépato-protectrices des graines de Chardon-Marie (Silybum marianum) ont fait l’objet de nombreuses études. Elles ont permis de mettre en évidence les silymarines qui sont les principaux composants responsables de son action sur les radicaux libres et sur la régénération des cellules du foie. Le Chardon-Marie a notamment montré des effets en cas d’affections hépatiques (hépatites virales ou médicamenteuses, champignons toxiques).
Son utilisation dans le cadre d’une cure détox sera à privilégier quand on suspecte une « intoxication » d’être à l’origine d’un affaiblissement de l’organisme (exposition à des polluants, excès d’alcool ou de tabac, prise de médicaments…). Il est possible de le remplacer par du Desmodium (Desmodium adscendens) qui a des propriétés similaires. Par contre, l’huile végétale de Chardon-Marie n’est pas recommandée pour une cure détox (titrage en silymarine méconnu et teneur élevée en acides gras saturés).
La partie comestible de l’Artichaut (Cynara scolymus) est le capitule qui est récolté avant la floraison de la plante, à partir du printemps jusqu’en été. En phytothérapie, ce sont plutôt les feuilles d’Artichaut qui sont utilisées comme plante médicinale en tant que « plante amère ». Plusieurs études ont notamment permis de mettre en évidence leurs propriétés cholérétiques (stimulation de la production de bile) et cholagogues (évacuation de la bile). Elles confirment ainsi leur usage traditionnel en cas de sensations de lourdeurs et de lenteurs digestives, liées plus particulièrement à une difficulté à digérer les graisses. De plus, les feuilles d’Artichaut sont également hépatoprotectrices, anti-oxydantes et diurétiques, d’où leur intérêt dans le cadre d’une détox du foie avec une action plus globale.
Ce sont les dérivés soufrés qui confèrent au Radis noir (Raphanus sativus) son odeur et ses propriétés cholagogue, cholérétique, mais aussi inductrice des enzymes de la détoxification hépatique. C’est à la fois un aliment idéal pour « nettoyer » le foie et un ingrédient souvent retrouvé dans les compléments alimentaires proposés pour faire une cure détox.
Bien connues des chasseurs, les baies de Genévrier (juniperus communis) sont traditionnellement ajoutées en cuisine pour faciliter la digestion des gibiers, mais aussi celle des viandes grasses, du canard ou de la choucroute… Également conseillées en phytothérapie en cas dyspepsie, les baies de Genévrier ont aussi la capacité de stimuler les fonctions rénales d’élimination. Que ce soit sous forme de tisane, d’huile essentielle et même de macérat de bourgeons ou d’hydrolat, leur pouvoir drainant est puissant. Les produits à base de Genévrier ne doivent donc pas être utilisés de manière prolongée ou excessive. L’avis d’un spécialiste peut même s’avérer nécessaire pour s’assurer que cette plante est adaptée à votre terrain. Ils sont d'ailleurs tous déconseillés avant 12 ou 18 ans, contre-indiqués pendant la grossesse et l’allaitement, en cas d’insuffisance urinaire ou de troubles rénaux importants. Il est important de boire beaucoup en parallèle d’une cure à base de Genévrier.
De nos jours, les infusions de baies de Genévrier sont moins utilisées mais il est possible de trouver des compléments alimentaires (gélules à base de poudre, teintures mères, ampoules) pour bénéficier de leurs propriétés drainantes, antioxydantes et digestives.
En gemmothérapie, le macérât de bourgeons de Genévrier est considéré comme un très bon draineur hépato-rénal. Il est surtout bénéfique en cas d’insuffisance hépato-biliaire, quand le foie est gras, surchargé ou intoxiqué.
Particulièrement puissante, l’huile essentielle de Genévrier est rarement utilisée seule. Elle est généralement associée à d’autres huiles essentielles pour faire une cure détox. En alternative un peu plus douce, il existe aussi l’hydrolat aromatique de Genévrier dont l’action est surtout diurétique.
L'argile Verte est souvent qualifiée d'antipoison ou de "dépolluant universel". Ses mécanismes d'action au niveau hépatique sont encore méconnus, mais elle est utilisée par voie interne (ponctuellement ou sous forme de cure) pour « nettoyer » le système digestif, que ce soit en cas d’intoxication alimentaire ou de déséquilibre de la flore intestinale. En complément de ses propriétés d’adsorption et d’absorption, elle apporte également certains oligoéléments, ce qui peut aider à reminéraliser l’organisme.
Cette micro-algue d’eau douce a fait l’objet de recherches concernant ses propriétés détoxifiantes. Grâce à la chlorophylle qu’elle contient, la Chlorelle (Chlorella vulgaris) aurait en effet la capacité de déloger, fixer et évacuer certaines toxines présentes dans le tube digestif comme les pesticides et des métaux lourds (ex : plomb et mercure). Par ailleurs, la chlorophylle est aussi un pigment doté de propriétés antioxydantes, dont l’action est complétée par d’autres composants de la Chlorelle, notamment le zinc (cofacteur d’enzymes anti-oxydantes), le béta-carotène (précurseur de la vitamine A) et la vitamine B2. Elle contribue ainsi à soutenir le foie dans la gestion du stress oxydant.
Associé à du fenouil, des épinards, des blettes, des brocolis, de la menthe, du persil… le concombre entre dans la composition de nombreux jus dits « verts ». Ces jus, préparés avec une majorité d’ingrédients de couleur verte, sont en effet appréciés pour leurs apports en fibres, minéraux, vitamines et antioxydants, tout en restant pauvres en sucre et calories. Internet regorge de recettes de jus ou de smoothies pour tous les goûts. Ils peuvent se consommer le matin à jeun pour démarrer la journée, avant ou après un effort physique, en tant que collation en cas de petite faim entre les repas… ou encore avant le coucher pour accompagner le processus de détoxification pendant le sommeil.
Attention cependant au « juicing » qui consiste à se nourrir exclusivement de fruits et de légumes sous forme de jus sans pulpe pendant plusieurs jours. Ce genre de cure excessive peut conduire à des carences en protéines, en acides gras essentiels, en vitamines… ainsi qu’à des déséquilibres néfastes pour la santé. L’absence de fibres dans ces jus perturbe également la digestion, le transit et la glycémie.
L’alimentation est connue pour jouer un rôle central pour la santé et celle du foie en particulier. Il est donc logique et essentiel de la mettre au cœur d’une cure détox, avec quelques habitudes à privilégier. Certaines de ces habitudes seront, même en dehors d’une cure détox, intéressantes à garder, pour notamment continuer à couvrir nos besoins en anti-oxydants avec les vitamines (A, C, E), les caroténoïdes et polyphénols, certains minéraux co-facteurs des enzymes de la détoxification hépatique (sélénium, cuivre, zinc, manganèse) :
Dans une démarche de santé globale, une cure détox est aussi l’occasion de prendre soin de son hygiène de vie en essayant de limiter les sources de stress oxydant tout en soutenant l’organisme dans ses fonctions naturelles de nettoyage et d’élimination :
Publication : Pincemail, J., Bonjean, K., Cayeux, K., & Defraigne, J.-O. (2002). Mécanismes physiologiques de la défense antioxydante. Nutrition Clinique et Métabolisme, 16(4), 233–239. Doi :10.1016/s0985-0562(02)00166-8
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Ouvrage : Faucon, M., & Canac, P. (2018). Traité d'Aromathérapie scientifique et médicale, les hydrolats (1st ed.). Paris: Éd. Sang de la Terre.
Ouvrage : Piterà di Clima, F., & Nicoletti, M. (2018). Précis de gemmothérapie - Fondements scientifiques de la Méristémothérapie. Éditions Amyris.
Ouvrage : Coudron C. & Pourrias B. (2014). Guides des ordonnances de nutrition. Editions de Santé.
Ouvrage : Joël PINCEMAIL, & Floriane MINET. (2016). LES POLYPHÉNOLS, CES ANTIOXYDANTS ENCORE MÉCONNUS. Les Éditions de la Province de Liège.
Ouvrage : Couic Marinier, F., & Touboul, A. (2017). Le guide Terre vivante des huiles essentielles. Terre Vivante Editions.
Ouvrage : de la Charie, T. (2019). Se soigner par les huiles essentielles. Pourquoi et comment ça marche ? Editions du Rocher.
Ouvrage : Corjon, G. (2018). Se soigner par les plantes. Quitin, France : Jean-Paul Gisserot.
Ouvrage : Dextreit, R. (2010). L'argile qui guérit: mémento de médecine naturelle. Escalquens, France: Vivre en harmonie.
Site Web : WikiPhyto, l’encyclopédie de la phytothérapie. (s. d.). à l’adresse http://www.wikiphyto.org/wiki/Accueil
Site Web : Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail - Anses. https://www.anses.fr/fr