Pin Sylvestre Bourgeon - Teinture Mère BIO

La Compagnie des Sens a choisi cette teinture mère de Bourgeons de Pin Sylvestre de la gamme Ladrôme Laboratoire® pour plusieurs raisons :

• L’Utilisation d'ingrédients de haute qualité : cette teinture mère est fabriquée avec 100 % d'ingrédients BIO et naturels.
• Des ingrédients locaux : 82 % des plantes utilisées proviennent de l’hexagone, dont les bourgeons de Pin sylvestres.
• Une formulation simple et essentielle : cette solution est sans conservateurs ni colorants synthétiques.
• Un produit fabriqué et conditionné en France au sein de Ladrôme Laboratoire.
• Un engagement environnemental : Ladrôme Laboratoire est membre du collectif « 1 % for the Planet ».
• Un packaging fiable et éco-responsable grâce à la bouteille en verre ambrée.

Le Pin Sylvestre, ou Pinus sylvestris, est un conifère qui se trouve principalement dans les zones montagneuses du Nord de l'Europe et peut croître jusqu'à des altitudes de 2000 mètres. Ce résineux se caractérise par une durée de vie remarquable, pouvant aller de 200 à 300 ans. Il se distingue par sa grande taille et son écorce qui tend à prendre une teinte roussâtre et écailleuse. Ses aiguilles, d'un vert bleuté, sont regroupées par deux à la base. En tant qu'arbre monoïque, il produit de petits cônes, avec les cônes mâles jaunâtres libérant abondamment du pollen pour féconder les cônes femelles, qui se transforment par la suite en pommes de pin.

Ladrôme Laboratoire a choisit d'utiliser les bourgeons de Pin Sylvestre pour leur teinture mère. Assurer la qualité supérieure d'une teinture mère implique l'utilisation de matières premières biologiques, récoltées de manière responsable pour le bien-être de l'environnement et des travailleurs. L'utilisation de plantes fraîches et vivantes est déterminante pour maximiser l'efficacité de la teinture mère. Toutefois, il convient de souligner que la teneur en composés actifs de ce produit n'est pas réglementée par des critères précis. La mesure de l'humidité des plantes fraîches est également importante, car l'alcool extrait l'eau des plantes, influençant ainsi la concentration en alcool de la solution finale. En pratique, le taux d'humidité est déterminé en laboratoire en pesant la plante avant et après sa déshydratation. Selon les recommandations de la pharmacopée française, le rapport pour une alcoolature est fixé à 1/10 du poids sec de la plante utilisée, ce qui signifie qu'il faut dix volumes d'alcool pour un volume de plante. Dans cette Teinture mère de Bourgeons de Pin Sylvestre, les principales molécules actives sont les monoterpènes. Ces composés possèdent notamment des propriétés expectorantes et mucolytiques.

Traditionnellement utilisés en phytothérapie, les jeunes bourgeons du Pin Sylvestre sont réputés pour leurs propriétés apaisantes sur le système respiratoire. On peut les trouver sous forme de macérat de bourgeons de Pin Sylvestre, de gélules de Pin et de teinture mère comme dans ce produit. Ils exercent un effet bénéfique et adoucissant sur les voies respiratoires, aidant à soulager la gorge et à décongestionner les voies respiratoires encombrées. De plus, ces bourgeons contribuent à dégager le nez, permettant une respiration plus aisée et plus libre.

• L’extrait hydro-alcoolique de Bourgeons de Pin Sylvestre est un complément alimentaire à base de plantes.
• Ne se substitue pas à une alimentation variée et équilibrée et à un mode de vie sain.
• Ne pas dépasser la dose journalière indiquée.
• Tenir hors de portée des enfants.
• Déconseillé aux enfants de moins de 6 ans.
• Ne pas utiliser pendant la grossesse et l’allaitement.

Pour rappel :

• Il est conseillé de diluer 20 à 25 gouttes dans un verre d'eau de 20 cL, 3 fois par jour, pendant 3 semaines.
• La dose journalière maximale est de 75 gouttes, soit 2,4 g d'extrait qui correspond, en moyenne, à 1,5 g de bourgeons frais de Pin Sylvestre.

• L'importance de l'environnement est cruciale pour une bonne respiration. Il est essentiel de minimiser le stress qui peut entraver la capacité respiratoire. Lorsque l'évitement du stress n'est pas possible, pratiquer quotidiennement des techniques de relaxation comme le yoga, la sophrologie, ou la cohérence cardiaque est fortement recommandé.

• Il est également suggéré de pratiquer des exercices respiratoires tripartites, englobant la respiration abdominale (située entre le nombril et le pubis), thoracique (au niveau de la cage thoracique) et claviculaire (autour des clavicules et à la base de la gorge). Cela consiste à inspirer profondément par le nez, ciblant successivement chaque zone, et à réaliser une respiration complète en liant ces trois phases lors de l'inspiration. L'expiration, effectuée par le nez, devrait durer autant que l'inspiration sans forcer.

• L'exercice physique, en particulier les activités cardiovasculaires, est vivement recommandé pour améliorer la fonction respiratoire à long terme. Selon le niveau de forme physique initial, il est conseillé de débuter par des marches prolongées, progressant vers des sessions de course à pied ou de vélo. La natation est aussi particulièrement bénéfique pour améliorer la capacité respiratoire, tout comme la pratique régulière d'un sport.

• L'alimentation joue un rôle prépondérant dans la gestion de la capacité respiratoire, notamment en cas de surpoids qui peut compliquer la respiration. Ajuster son régime alimentaire selon ses besoins et préférences est fondamental pour maintenir un poids sain et un indice de masse corporelle dans la norme.

• Un sommeil de qualité est crucial pour soutenir une bonne respiration, car il favorise l'équilibre hormonal. Un sommeil perturbé peut conduire à des difficultés respiratoires, particulièrement lors des journées longues et chargées. Il est généralement recommandé aux adultes de dormir entre 7 et 9 heures par nuit. En cas de troubles du sommeil, il est judicieux de consulter un professionnel de santé.

Installée depuis plus de trois décennies entre le Vercors et la Provence, au sein de la Biovallée, Ladrôme Laboratoire a observé avec une inquiétude croissante les impacts environnementaux néfastes sur la région drômoise : baisse des nappes phréatiques, augmentation des températures, fréquence accrue des perturbations climatiques, maladies et réduction de la biodiversité. Poursuivant son engagement en faveur de pratiques durables, Ladrôme Laboratoire a adhéré au début de 2021 au mouvement international "1% for the Planet", marquant ainsi sa volonté de contribuer à la protection de l'environnement, un domaine souvent négligé par les actions philanthropiques. En effet, en France, seulement 7% des dons philanthropiques sont dédiés à l'environnement.

"1% for the Planet" est une alliance mondiale d'entreprises s'engageant à reverser 1% de leur chiffre d'affaires à des organismes dédiés à la protection de l'environnement, regroupant actuellement plus de 2 500 membres dans le monde. En rejoignant ce mouvement, Ladrôme Laboratoire s'engage donc à consacrer 1% de son chiffre d'affaires, provenant de l'ensemble de ses gammes de produits, au soutien d'associations œuvrant efficacement pour la sauvegarde de l'environnement.

Les teintures mères sont produites par la macération de plantes fraîches dans de l'alcool pur ou une solution d'alcool et d'eau, facilitant l'extraction de leurs actifs. Ce processus est également connu sous les noms d'extrait hydro-alcoolique ou alcoolature. Bien que moins fréquente, la macération de plantes sèches dans l'alcool est parfois aussi appelée teinture mère. 

La méthode de préparation est similaire pour les deux types de teintures : elle consiste à laisser macérer une quantité déterminée de plante dans de l'alcool, qui doit être le plus concentré possible, idéalement entre 60 et 90 degrés. Toutefois, face à la difficulté de se procurer de tels alcools, un alcool à 45-50 degrés est souvent utilisé. L'alcool agit comme solvant pour extraire et diluer les  actifs de la plante. La période de macération du mélange varie selon le type de plante, allant de quelques jours à plusieurs semaines. Il est mélangé quotidiennement, ce qui permet une diffusion progressive des actifs dans l'alcool. Après la période de macération, le mélange est filtré et conditionné dans un flacon teinté pour préserver sa stabilité. À l’abri de la lumière et de la chaleur, la teinture mère peut se garder pendant plusieurs années.

Dans l'usage quotidien, le terme "teinture mère" fait souvent référence à un extrait hydroalcoolique. Ce produit est créé par la macération de plantes dans un solvant hydroalcoolique, pouvant inclure la plante entière ou des parties spécifiques telles que les feuilles, les fleurs, les graines, les écorces, les racines ou les fruits. Les matières premières peuvent être fraîches ou séchées, avec un taux d'alcool variant de 60° à 90°, ajusté en fonction de la texture et de la teneur en eau des tissus végétaux. Ces extraits peuvent être classifiés comme compléments alimentaires et sont utilisés par voie orale, mais aussi dans les bains de bouche ou les applications cutanées.

Il existe cependant une distinction importante avec la Teinture-Mère homéopathique (TM), qui suit des normes strictes établies par la Pharmacopée et est régulée par les laboratoires homéopathiques. Contrairement à la teinture mère en phytothérapie, la TM homéopathique, utilisée dans la fabrication de médicaments homéopathiques, n'est vendue qu'en pharmacie et peut nécessiter une autorisation de mise sur le marché. Elle est produite exclusivement à partir de la plante entière et fraîche, macérée dans de l'alcool à 95° pendant 21 jours, pour obtenir un titre alcoolique proche de 70°.

Malgré ces différences, ces préparations partagent l'utilisation commune de l'alcool comme moyen d'extraction et de conservation des actifs des plantes.

Les teintures mères, huiles essentielles et macérats de bourgeons sont des concentrés spécifiques d'une plante, chacun riche en actifs. Une même plante ou arbre peut être la source de ces trois produits, bien que leurs procédés de fabrication et propriétés diffèrent.

• Les teintures mères sont élaborées par la macération de plantes dans de l'alcool, pour en extraire les actifs, connues sous le nom d'extraits hydroalcooliques. Elles sont utilisées soit par voie orale soit par application cutanée, généralement sur des périodes prolongées ou en cure. Leur composition alcoolique limite leur usage pour certains groupes, comme les femmes enceintes, allaitantes et les jeunes enfants.

• Les huiles essentielles sont des liquides parfumés et volatils, obtenus par distillation de parties spécifiques de plantes aromatiques (comme les racines, fleurs, feuilles ou tiges). Pour les agrumes, l'extraction se fait par pression mécanique du zeste. Ces huiles reflètent les propriétés de la partie de la plante utilisée et sont employées de diverses manières : ingestion, inhalation, diffusion, ou application cutanée. Elles offrent des effets rapides et ciblés mais présentent certaines contre-indications.

• Les macérats de bourgeons sont produits à partir de bourgeons ou jeunes pousses récoltés au printemps, puis mis à macérer dans un mélange d'eau, d'alcool et de glycérine. Ces macérats encapsulent les propriétés complètes de la plante et sont généralement utilisés par voie orale, purs ou dilués, pour une action douce et durable. Ils ont peu de contre-indications et d'effets secondaires.

Chaque phase du processus de production est rigoureusement standardisée en termes d'outils, de durée et de matières premières, conformément aux normes établies par la Pharmacopée française ou européenne. Les teintures mères sont ainsi soumises à des contrôles stricts dans le secteur pharmaceutique. Les laboratoires responsables de la fabrication et de la distribution des teintures mères doivent posséder une certification de Bonnes Pratiques de Fabrication (BPF), attribuée par l'Agence Nationale de la Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM). Des tests de qualité rigoureux, incluant la chromatographie, sont réalisés pour assurer la conformité des produits aux standards établis.

Le système respiratoire remplit une fonction vitale pour l'organisme : la respiration. Sur le plan structurel, il se divise en deux parties principales :

• La zone de conduction, qui inclut tous les organes ou conduits chargés de transporter l'air pendant l'inhalation et l'exhalation.

• La zone respiratoire, située à côté de la zone de conduction, où se déroulent les échanges gazeux avec le sang.

Ce système comprend aussi bien les voies aériennes supérieures que les voies aériennes inférieures :

• Les voies aériennes supérieures, comprenant les fosses nasales, le pharynx et le larynx, jouent un rôle crucial dans le réchauffement, l'humidification et la filtration de l'air, le préparant ainsi pour son utilisation efficace au niveau de la zone respiratoire.

• Les voies aériennes inférieures se composent de la trachée, des bronches, des bronchioles et des alvéoles pulmonaires. L'arbre respiratoire se ramifie en branches de plus en plus fines culminant aux alvéoles pulmonaires, où s'effectuent les échanges gazeux essentiels.

• La respiration est un processus automatique impliquant une séquence d'inhalations et d'expirations. La fréquence respiratoire moyenne varie en fonction de l'âge, oscillant entre 30 et 60 cycles par minute chez les nourrissons et 12 à 20 cycles chez les adultes. Lors de l'inhalation (inspiration), la contraction des muscles intercostaux provoque une expansion du volume de la cage thoracique. En parallèle, le volume pulmonaire augmente avec l'entrée d'air oxygéné de l'extérieur. Cet oxygène diffuse des alvéoles vers le sang des capillaires pulmonaires, puis est pompé dans la circulation sanguine pour alimenter les organes. Ces organes consomment l'oxygène pour assurer leurs fonctions et produisent du dioxyde de carbone (CO2). Pendant l'expiration, les muscles intercostaux se relâchent, la cage thoracique et le volume alvéolaire diminuent. La pression intra-pulmonaire augmente, expulsant l'air chargé de CO2 hors des poumons.

• La parole est étroitement liée au système respiratoire et vocal, exigeant une synchronisation précise entre le larynx et les voies respiratoires supérieures et inférieures. Le système phonatoire se compose du système respiratoire, des cordes vocales du larynx produisant l'énergie sonore, et des cavités supra-glottiques agissant comme des caisses de résonance pour les sons du langage.

• L'olfaction, ou odorat, se déroule dans les voies aériennes supérieures. Lorsque l'air pénètre dans les cavités nasales, les substances chimiques qu'il transporte se lient à des récepteurs du système nerveux sur les fibres olfactives, activant ces dernières. Le cerveau reçoit un stimulus, avec certaines zones responsables de la reconnaissance des odeurs.

Pour améliorer la fonction respiratoire, diverses plantes peuvent être employées seules ou en synergie, sous forme d'infusions, capsules, comprimés, huiles essentielles, ou macérats de bourgeons. Parmi les plantes bénéfiques pour soulager les voies respiratoires, on trouve :

La nature, véritable laboratoire du vivant, est le berceau de toutes les évolutions et innovations. Chez Ladrôme Laboratoire, cette richesse naturelle est valorisée scientifiquement pour en extraire des actifs bénéfiques. Depuis 30 ans, avec respect et humilité, Ladrôme Laboratoire développe des solutions de santé naturelles, biologiques et de haute qualité. Du champ au flacon, que ce soit en collaborant étroitement avec leurs producteurs ou en maniant les éprouvettes en laboratoire, chaque détail est méticuleusement pris en compte. Leur expertise collective permet de créer des formules aux synergies végétales optimales, sans ingrédients superflus.

Cette quête de qualité débute dans la Drôme, une région riche en plantes aromatiques et médicinales, où le soleil de la Provence rencontre l'air pur du Vercors. Cette passion pour la botanique a alimenté une foi inébranlable en l'efficacité des solutions de santé naturelles. Héritées de savoirs ancestraux et perfectionnées par la science moderne, ces solutions témoignent d'une expertise unique. Depuis trois décennies, Ladrôme Laboratoire et ses partenaires s'engagent pour une santé abordée de façon plus naturelle, holistique et préventive. Ladrôme Laboratoire Laboratoire aspire à consacrer les trente prochaines années à favoriser l'évolution des mentalités, promouvant une reconnaissance accrue des vertus des plantes et de leurs actifs.